C’est une nouveauté du CDI, reçue à la rentrée. Très facile à lire, c’est un roman qui ravira les fans de science-fiction et de space opéra. J’ai été attirée par cette couverture à la fois simple et intrigante…
L’histoire :
C’est l’histoire de la planète Terre, en l’an 2064 ; l’eau a tout recouvert et il ne reste que les terres assez hautes. Heureusement, une planète a été découverte habitable, dans cet avenir en danger : Reborn. Il y a de l’eau sous la terre noire de ce nouveau foyer pour les humains et l’air est respirable mais jamais cette planète n’égalera notre planète bleue. Par exemple, les fruits et légumes n’ont pas le même goût que sur la Terre…
Le problème, c’est que cette nouvelle maison n’est pas accessible à tous les humains. Les habitants des pays les plus riches ont pu être transportés vers Reborn par des navettes mais les plus pauvres n’ont pas pu payer le voyage, d’autant plus que les prix augmentaient de plus en plus. Les scientifiques disaient manquer de place sur la nouvelle Terre ; mais d’autres affirment que la surface de Reborn serait même supérieure à celle de la troisième planète de notre système solaire…
Le héros de cette histoire s’appelle Chuong et c’est un vietnamien. Il n’est pas riche donc ses parents n’ont pas pu leur payer le transfert. Mais ces derniers voulaient absolument donner un avenir à leur fils… et un avenir de qualité ! Et maintenant, la qualité rime avec Reborn ! Mais le temps de rassembler l’argent nécessaire, les arrivées de navettes sur la nouvelle planète étaient de plus en plus refusées et les voyageurs n’avaient plus droit à un “processeur identitaire” fixé sur leur nombril. C’est la nouvelle carte d’identité des habitant et c’est interdit de se promener sur Reborn sans elle.
En payant au prix fort, Chuong et ses parents s’embarquèrent dans le Rio de Janeiro, un vieux vaisseau de… 2020 !(Ça montre qu’on espérait déjà beaucoup de cette année…malheureusement, on n’en est pas là !)Le Rio devait entrer dans l’atmosphère de Reborn le plus loin possible des villes pour ne pas se faire remarquer. En gros, c’était une navette illégale…pour ne pas risquer de se faire refouler à l’entrée. Ils se font finalement repérer et passent plus d’un an dans une sorte de camp de réfugiés à attendre qu’on leur donne un processeur identitaire…
Bref, je n’en dis pas plus ; ce sera à vous de découvrir la suite !
Conclusion :
Je recommande bien entendu ce livre. Il peut nous apprendre l’importance de bien s’occuper de NOTRE planète car une vie ailleurs serait difficile. J’aime beaucoup la façon dont l’histoire est racontée, par exemple le début nous laisse perplexe mais en lisant la suite on comprend au fur et à mesure. Si vous le lisez, je pense que comme moi, vous détesterez Vacarello… 🙂
C’est mon premier article et j’espère que vous l’avez apprécié…
écrit par Mélissa Baylou–Moreno, 5°D, le 29/09/20
J’ai adoré ton article !
Il nous plonge déjà dans l’histoire !
J’ai hâte que ce soit la rentrée pour pouvoir l’emprunter !
Merci Lola,
ça me fait super plaisir !