Nos jeunes ont du talent: Lucas et le taekwondo !

Dans le cadre de notre rubrique « Nos jeunes ont du talent », nous vous proposons aujourd’hui le portrait de Lucas ESPINOSA, élève de 1ère STI2D, passionné de Taekwondo depuis plusieurs années. Cet art martial coréen lui permet de développer sa confiance en soi, tout en cultivant un équilibre physique et mental.

Le Taekwondo, issu de la culture coréenne, est bien plus qu’un simple sport de combat. Il favorise l’épanouissement personnel et encourage un esprit d’ouverture. Sa pratique repose sur une quête constante d’équilibre intérieur, permettant de vivre en harmonie avec son environnement. Discipline moderne et dynamique, il a acquis une reconnaissance internationale en devenant sport olympique lors des Jeux de Sydney en 2000.

Rencontre avec Lucas ESPINOSA

Depuis combien de temps pratiques tu le Taekwondo ? Je le pratique depuis 7 ans.

Peux-tu nous présenter brièvement ce sport ? Le Taekwondo est un art martial qui repose principalement sur le combat avec les jambes.

Quel est ton niveau actuel ? Je suis ceinture noire 2e dan.

Quels sont tes objectifs à court et long terme ? Je n’ai pas d’objectif précis, mais j’ai l’ambition d’aider mon entourage et les personnes qui en ont besoin. Mon club mène des actions solidaires, notamment pour les personnes en situation de handicap qui souhaitent découvrir les arts martiaux.

Que t’apporte ce sport sur le plan personnel ? Le Taekwondo m’apporte force, équilibre et mobilité, aussi bien physiquement que mentalement. Il m’aide à renforcer ma confiance en moi.

Que dirais-tu à un jeune qui aimerait se lancer dans ce sport ? Dans mon club, beaucoup de jeunes hésitent à commencer, surtout ceux qui ont eu de mauvaises expériences dans d’autres arts martiaux. Mon conseil serait: si tu as un rêve, fonce ! Donne tout ce que tu as, même si des obstacles se dressent sur ton chemin. Ça ne coûte rien d’essayer !

Merci à Lucas ESPINOSA pour son témoignage inspirant !

Article rédigé par Manuella MELCHIOR (professeure d’histoire-géographie et référent culture) avec la précieuse collaboration de Quentin BELLO  (élève de 1ère STI2D et journaliste en herbe).