Pour M’ché, ce début d’année scolaire 24, est synonyme de changements et de questions. Il a voulu exagérer ce questionnement et le mettre en valeur, par une gestuelle et une marche visuelles qui regardent du côté du cinéma, depuis le burlesque, l’origine, jusqu’à certains films contemporains. (1,08’)

Mathéo a choisi de nous montrer sa passion pour le basket (1,14’) en deux temps : essais et réussite. Indirectement, il présente un trait de son caractère : la persévérance.

Maya a beaucoup aimé le conte de Blanche Neige dans son enfance et, depuis ce temps, le miroir est son ami. Elle s’attaque ainsi à une scène signifiante et pas facile à réaliser dans l’histoire du cinéma : la scène dans le miroir (2,10’)

Coralie et Léa ont choisi une caméra qui se promène agréablement, butine, s’éloigne et revient sur le personnage qui, lui-même, ne parvient pas à se fixer sur la tâche à faire. On a l’impression que cette caméra fera mieux demain, elle pensera plus aux cadres, à la diégèse et au reste mais pour le moment, elle prend son temps et le perd avec délice. (3,05’)

Lou est partagée entre contrainte et liberté. Pour chaque partie elle a mis en place un dispositif temporel et sonore qui illustrent ces deux pôles et constituent son harmonie intérieure. (2,10’)

Pascale Hermann
Professeur CIAV