Quinzaine créole

Une première au Lycée Paul Moreau

C’est à l’initiative d’Allison Gerville, Assistante d’Education, qu’a été organisée pour la première fois la “Semaine créole” au lycée. Nous l’avons même rebaptisée “Quinzaine créole“, car une semaine, ça aurait été trop court, non? Il fallait prendre un peu de temps pour bien profiter…

 L’idée de départ était de se pencher un peu sur la culture littéraire et historique de la Réunion, ainsi que sur la langue : le créole réunionnais.

À cette occasion, quelques temps forts ont été imaginés :

Tout d’abord  un concours de poésie!

 Chers élèves, qui avez osé relever le défi : bravo! Il nous a été assez difficile de départager les candidats, 7 d’entre eux ont été récompensés : Orlane Vitry (1ère), Djamel Dreinaza (CAP1), Naomi De Fondaumière (Tle), Julianie Gossard, Yvan Ramalingom (CAP2), Lulyano Gineau (CAP1) et Manon Ferrère (1ère Pro)

– Une rencontre avec une écrivaine péï : Bernadette Thomas  a accepté gracieusement, il faut le souligner, de venir nous parler de ses ouvrages et de son métier. Les élèves ont apprécié ces échanges avec l’écrivaine,  ceux-ci s’avérant toujours un moment unique, voire intimidant pour certains.

-Le CDI a mis à l’honneur quelques ouvrages soigneusement sélectionnés pour cette quinzaine, et incité les élèves à s’y intéresser.  Mais ce n’est pas tout! Le jeudi 27 octobre, la cantine proposait un repas traditionnel pour être dans le thème, et les élèves (ah! vous êtes décidément encore bien timides!) ont été invités à porter des vêtements ou accessoires traditionnels (chapeaux la paille, bertel, robes à  fleurs…)

– Pour couronner le tout, notre Groupe de Maloya du Lycée a fait résonner ses percussions le temps d’une récréation matinale : un vrai bonheur pour tous!

Merci à Medhi Ouledi (sacré leader!), Mathieu Bironda, Thomas Salam, Wildric Robert et Lucas Heinrich-Furenzula d’avoir fait résonner le maloya “pure-tradition” entre les murs du lycée.

Cette petite incursion de la culture péï dans l’établissement nous a mis le cœur en joie, gageons que cette première édition ne sera pas la dernière 

La documentaliste.

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