Je marchais, me promenant,
En ce magnifique jardin ;
Rempli d’enfants du printemps,
Fleurs et fleuves et leurs feuilles en coussin !
Soudain mon regard, de plein fouet, te heurta
Soudain mes mots se perdirent
Soudain mon cœur chavira,
Soudain tu entras dans ma vie sans prévenir.
Des jours qui semblaient des années
M’ont séparé de ton être.
Je t’attends ma belle, je te cherche ma muse, si seulement je t’avais demandé !
Je cherche tes yeux rieurs et ton sourire enchanteur,
Tes cheveux de feu et ton corps de nymphe,
Je cherche ton amour, s’il existe seulement.