La cité du volcan…

Les élèves de 505 et de 403 se sont rendus à la cité du volcan avec leurs professeurs

En français avec l’aide de la documentaliste, les 403 ont écrit des articles réels ou imaginaires sur cette sortie tandis que les 505 ont écrit des contes à partir des éléments qu’ils ont pu observé lors de cette visite.

Voici quelques uns de leurs textes, bonne lecture!

____________________________________________________________

Article 1:

LA FUREUR DU VOLCAN : LE PITON DE LA FOURNAISE.

Le Piton des Neiges et le Piton de la Fournaise sont les deux volcans de la réunion et ont bientôt 5 millons d’années.

Le Piton des Neiges est le premier volcan à être sorti de l’eau mais aujourd’hui, ce volcan est endormi.

Aprés quelques millons d’années, c’est le Piton de la Fournaise qui est apparu et qui a agrandi la partie sud-est de l’île. Ce qui explique aussi son emplacement de nos jours.

VOLCAN EN ERUPTION

De nos jours, sur l’île de la réunion le Piton de la Fournaise est l’un des volcans les plus actifs du monde: les volcanologues comptent environ deux éruptions par an qui peuvent durer de quelques heures à plusieurs mois. Ce volcanisme est de type hawainen et appartient à la catégorie des volcans rouges. Il est sans danger ,il n’émet pas d’explosion , des trainées de laves fluides descendent parfois jusqu’à la mer. En 1977,l’une d’elle avait détruite la moitié du village de Ste-Rose.

L’éruption de 2007

L’éruption du 2 avril au 1 mai 2007 aura duré 1 mois. L’éruption s’est déclanchée dans l’enclos Fouqué le 2 avril 2007 à 10h environ. Aprés avoir aperçu une très grande fissure ,les volcanologues se sont rendu compte que la lave se dirigeait vers la route.  Les autorités ont alors décidé de fermer la route nationale 2. La lave a atteint la mer le 3 avril jusqu’au 1 mai 2007. Pendant cette éruption, les visiteurs ont été nombreux à venir visiter ce spectacle miraculeux et sont prés à revenir pour les éruptions futures.

E.Selambaye et L.Saint-Gilles, 403.

Article 2:

Les volcanologues Maurice Krafft et Katia Krafft

Les scientifiques qui étudient les volcans sont appelés volcanologues.Maurice Krafft et Katia Krafft sont les deux volcanologues qui sont à l’origine de la Cité du volcan.Maurice et Katia Krafft formaient un couple : ils étaient tous les deux passionnés du volcan.Le couple est mort accidentellement de leur passion le 3 juin 1991 au Japon.

Leur enfance

Enfant,Maurice Krafft est témoin en 1951 d’une éruption au Stromboli lors d’un voyage en famille, ce qui est à l’origine de sa vocation.De son coté Katia Conrad a fait des études de physique et de géochimie à l’université de Strasbourg. Elle obtient le prix de fondation de la vocation pour ce travail de volcanologie. Quelques années plus tard ils se rencontrèrent. Par la suite ils font leurs études à la faculté de Besançon. Puis en 1970, ils se marièrent : Katia Conrad devient Katia Krafft.

Comment sont-ils mort ?

Maurice et Katia Krafft sont des volcanologues passionnés. Ils sont morts le 3 juin 1991 au Japon d’une coulée pyroclastique du Mont Unzen qui leur a été fatale ainsi qu’à quarante cinq autres personnes. Au même moment, ironie du sort, le travail de sensibilisation au risque majeur des volcans explosifs évitera probablement des milliers de victimes. En effet leur dernier film présenté aux autorités locales motivait une évacuation d’envergure peu avant la terrible éruption du Pinatubo aux Phillipines.

Cette sortie nous a appris plus de choses sur les volcans ainsi que sur Maurice et Katia Krafft. Il nous a aussi appris qu’ils sont à l’origine de la cité du volcan. Cette sortie nous a intéressés même si au début on n’était pas intéressé mais pendant la visite ça nous a plu d’apprendre plus de choses sur les volcans.

Hoareau F – Sautron C 403

 

Article 3:

Un lieu magique

Cela se passe dans un musé à la Plaine des Palmistes. Plusieurs témoignages, comme celui d’Ulrich Laravine un jeune élève du collège Auguste Lacaussade, disent  avoir  aperçu les objets de cette exposition prendre vie. Ulrich disait que c’était comme s’il était téléporté directement au cœur du volcan du piton de la Fournaise. Nous affirmons qu’il a toute sa tête, et qu’il est en pleine conscience de ses capacités. Nous avons donc recueilli plusieurs témoignages de personnes affirmant ces faits. Des pierres prennent vie, mais aussi des objets dits inanimés. C’était comme s’ils étaient dans un autre monde, inconnu mais bien réel. Nous avons regardé les vidéos de surveillance et toutes ces choses paraissent réelles, malgré ce qu’on pourrait croire à première vue.

Témoignage

Les « dires » d’Ulrich : « J’étais perdu, dans tous mes états par tout ce qui se passait! Je n’en croyais pas mes yeux , les pierres vivantes autour de moi mais lorsque j’ai vu une personne chère: le temps s’était arrêté!! Celle-ci restait timide et   renfermée sur elle-même alors que j’avais envie de lui parler!  Puis nous sommes repartis, mais c’était comme une partie de moi, de nous tous, qui était restée gravée à tout jamais  en nous. En ce jour ma vision du monde  a changé, mais je ne peux m’empêcher de repenser à ce que j’ai vu, à cette personne! »

Pour conclure, toute chose est possible, il suffit d’y croire, car dans cet article nous apprenons que tout est possible, malgré les difficultés de la vie, mais aussi que la vérité sort toujours de la bouche des enfants, donc ce qui s’est passé est bien réel: les objets ont bien pris vie!  

U.Laravine.

_____________________________________________

 

Les contes.

Conte 1:

Voyage au centre de la Terre… 

Il était une fois un enfant très rêveur et ce rêveur était mon frère, il se voyait devenir un grand inventeur. Il s’ enfermait des heures et des heures entières dans sa chambre à dessiner, à lire. Il ne voulait pas être dérangé.

Un jour, il est sorti de sa chambre en courant vers nous et dit:

– Ça y est! j ‘ai une idée !!!

Tout excités, nous voulions savoir et il a répondu:

– Vous verrez, patience!!!

Il a demandé l’ autorisation à mes parents pour utiliser le hangar qui se trouvait au fond du jardin.

Il y passait des heures et des heures enfermé oubliant parfois de se réhydrater ou de se nourrir.

Son ambition était de finir ce qu’ il avait en tête .

Un beau jour,  il est sorti tout souriant et tout heureux:

 

– Ça y est, le grand jour est arrivé!

 

Il nous a donné le feu vert pour rentrer dans le hangar. Á notre grande surprise il nous a  presenté son invention.

 

–  C’ est quoi ? ont demandé mes parents.

– C’est ma capsule pour aller dans le cratère du Piton de La Fournaise!!!Elle offre de merveilleux spectacles lors de ses éruptions, alors je voudrais voir ce qui se passe dans ses profondeurs.

 

Mon frère m’ invite alors à partir en exploration avec lui.

Le lendemain matin, mon frère tout excité est déjà réveillé. Quelques heures plus tard nous sommes prêts .Nous disons au revoir  à mes parents et nous décollons .Quelques petites minutes de vol et nous voyons de loin le Dolomieu. Nous sommes enfin sur le cratère et  nous descendons petit à petit dans les entrailles du volcan. Nous observons la chambre magmatique , je me sentais un peu mal à cause de la chaleur.Là mon frère voit un tunnel vide. Il rentre et se pose sans hésiter !

Á peine la capsule arrêtée, il se précipite à l’extérieur. Je sors à mon tour.

 

-Tu vois là, ce sont des stalactites qui sont suspendues au toit du tunnel.

 

Nous continuons notre exploration dans le tunnel, nous voyons comme une source de magma. Cette source faisait des bulles énormes.

Un peu plus loin, il y avait des petits cristaux verts.

Mon frère les ramasse et dit:

 

-Ceci est le trésor d’un volcan, ce sont les cristaux d’olivine.

 

Nous remontons dans notre capsule, nous passons par une cheminée et le  gaz nous propulse à l’extérieur du volcan.

Nous rentrons chez nous et nous racontons à nos parents notre belle excursion. Encore merci à mon génie de frère.

 

Chapelin F, 505.

Conte 2:

En cette journée d’Halloween, un petit garçon prénommé Tom se rendit à la cité du volcan avec ses parents. Après deux bonnes heures de voyage, ils arrivèrent à la cité. En sortant de la voiture Tom était tout éxité parce qu’ils entraient enfin dans le musée. Ils décidèrent de commencer par la visite puis d’aller voir le film en quatre dimensions. Tom et sa famille entrèrent alors dans le tunnel. Soudain, il se produisit un événement que Tom n’aurait jamais soupçonné. Le tunnel s’agrandit subitement. Tom attiré par la longueur du tunnel continua à le suivre alors que ses parents montaient sur un escalier invisible. Ce qui provoqua un certain étonnement chez Tom. Mais ce qui le surprit le plus, fut de voir que ses parents ne s’apercevaient même pas de son absence. Le tunnel s’effondra brusquement, ce qui força Tom à courir le plus rapidement possible pour ne pas tomber. Tom était presque à bout de force lorsqu’il atteignit enfin le bout du tunnel, alors qu’une vague de chaleur le fit tomber dans l’inconscience. Quand il se réveilla enfin, Tom se sentit mieux malgré la vision d’horreur qui se tenait face à lui. Des volcans et des montagnes à perte de vue et des lacs de lave. La peur submergea Tom. Il se mit alors à courir à la recherche d’une sortie. Alors qu’il cherchait désespérément un moyen de sortir de ce lieu, il vit jaillir d’un des lacs de lave des bulles et une immense créature dotée de six longues pattes et d’un corps segmenté. Le premier réflexe qu’eut Tom fut de fuir cette abominable créature. Il trouva alors une grotte avec une épée enfoncée dans un rocher, Tom prit alors l’épée et fit face à la créature. Il abattit alors l’épée de toutes ses forces sur le crâne de la bête. Elle s’écroula sur le sol raide morte, le crâne fendu en deux. Mais ce ne fut qu’un bref répit car d’autres créatures émergèrent du lac de lave. Heureusement, un portail à la forme ronde et à l’aspect liquoreux s’ouvrit à lui. Alors il y plongea et il se trouva immergé dans le noir. Soudain,une blancheur l’enveloppa,une lumière radieuse l’éblouit mais après un temps d’adaptation il réalisa qu’il était devant le musée et que ses parents l’attendaient. Le seul souvenir de son voyage fantastique était son épée qu’il tenait encore en main.

Nomertin O, 505.

Conte 3:

Il était une fois une jeune fille un peu tête en l’air du nom de Joyce. Elle avait de longs cheveux de jais et d’étranges yeux vairons : l’un bleu et l’autre vert. Un jour, lors d’une sortie scolaire à la Cité du Volcan, Joyce, tête en l’air qu’elle était, perdit son groupe. Elle s’aventura dans la Cité et déboula dans un long tunnel où des stalactites au plafond menaçaient de tomber. Au bout de ce tunnel, Joyce rencontra une magnifique femme à la chevelure bouclée d’un noir profond. Ses yeux étaient orangés comme la lave qui émanait des volcans derrière elle.

 

« Bonjour, dit Joyce, je me suis perdue. Pouvez-vous m’aider ? »

 

La femme lui sourit avant de répondre :

 

« La prophétie était donc vraie ! Tu es celle aux yeux vairons qui va me sauver !

Vous sauver !

Une malédiction m’a touchée et si je ne reçois pas rapidement une olivine, la fureur des volcans risquent de s’abattre sur les hommes !

Mais… qui êtes-vous ?

Je suis Pelée, ma petite. La déesse du feu.

Si je vous aide, m’aiderez-vous en retour à retrouver mon groupe ? »

 

La déesse lui répondit qu’elle l’aidera. Aussitôt, Joyce fut transportée dans la chambre magmatique du Piton de la Fournaise après que la déesse l’ait protégée de la chaleur du magma. Joyce, après de longues recherches au milieu de tout ce magma, trouva lesdites olivines. Elle en récupéra deux avant de se faire éjecter de la chambre magmatique par une puissante éruption. À ses côtés, des morceaux de laves de différentes tailles volaient dans tous les sens. Elle reconnut des lapillis et des bombes, parfois aussi grosses que des voitures ! Elle tomba sur les fesses devant la déesse et s’empressa de lui remettre les cristaux verts.

 

« Merci Joyce, la prophétie te décrivait comme telle. Suis la lave, tu finiras par arriver là où tu as perdu ton groupe. »

 

La jeune fille ne put répondre car elle se fit emportée par la coulée de lave. Et lorsqu’elle se retourna, il n’y avait plus la déesse mais son groupe. L’éruption et les coulées de lave avaient aussi disparues. Comme si tout cela n’avait été qu’un rêve. Un rêve qu’elle n’oubliera pas.

N Hoareau, 505.

Conte 4:

La légende :  une réalité.

 

Il y avait une fois, une jeune garçon nommé Alex. Et bien qu’il ait un beau prénom, son caractère ne l’était pas! Il menait la vie dure à ses parents et ne respectait pas ses amis . Les adultes lui disaient souvent: «Continue et tu verras: Gran’ Mère Kal’ t’emmènera au fond du volcan!»Mais il ne les écoutait pas ne croyant pas aux Légendes idiotes comme il le disait si bien.

 

Un soir, alors que tout le village d’Hell-Bourg dormait, Alex se réveilla en sursaut, entendant un bruit étrange venant du jardin. Muni d’une bougie, il avança jusqu’à la porte. Alex, la main tremblante, ouvrit doucement la porte. Il lâcha un cri d’épouvante, e voyant de la lave recouvrir tout le tour de la maison. «Comment est-ce possible?» se demandait-il. Il fut soudain interpellé par un objet brillant : un cristal ! Il avait déjà vu ce genre de pierre à l’école. Alex se souvint de l’une d’elle appelée : « lapilli ». Alors qu’il contemplait la pierre, une chose horrible et redoutait par les enfants se posa devant lui.

 

-AAH!cria-t-il. Mais qui êtes-vous ?

 

-C’est toi Alex ? Le petit garçon qui n’obéit pas ?

 

-Non ce n’est pas moi ! Vous vous êtes trompé de garçon:j’ai toujours écouté mes parents !

 

-On ne t’a jamais dit que c’est mal de mentir ?! Je suis Kal, Alex, et tu vas venir avec moi.

 

Alex n’eut pas le temps de répondre : elle le prit par le bras et l’emmena vers le Piton de la Fournaise.Il criait à l’aide, essayant de se libérer de se libérer de l’emprise de Gran’ Mère Kal’ mais sa main hideuse le tenait fermement. Il arrêta de bouger, voyant des bombes sortir du volcan : bouse de vache, croûte de pain, chou-fleur,.., ils y étaient tous!Alex n’en croyait pas ses yeux : le Piton de la Fournaise venait d’entrer en éruption juste devant lui !!Kal l’emmena sous l’un des tunnels du volcan, où il admira les stalactites. Arrivée à la chambre, Gran’ Mère Kal’ le lança dans le magma, là où étaient tous les enfants désobéissants.

L Thévenin,505.

 

Conte 5:

Voyage au centre de la Terre…

 

Il était une fois un enfant très rêveur et ce rêveur était mon frère, il se voyait devenir un grand inventeur. Il s’ enfermait des heures et des heures entières dans sa chambre à dessiner, à lire. Il ne voulait pas être dérangé.

Un jour, il est sorti de sa chambre en courant vers nous et dit:

– Ça y est! j ‘ai une idée !!!

Tout excités, nous voulions savoir et il a répondu:

– Vous verrez, patience!!!

Il a demandé l’ autorisation à mes parents pour utiliser le hangar qui se trouvait au fond du jardin.

Il y passait des heures et des heures enfermé oubliant parfois de se réhydrater ou de se nourrir.

Son ambition était de finir ce qu’ il avait en tête .

Un beau jour,  il est sorti tout souriant et tout heureux:

 

– Ça y est, le grand jour est arrivé!

 

Il nous a donné le feu vert pour rentrer dans le hangar. Á notre grande surprise il nous a  presenté son invention.

 

–  C’ est quoi ? ont demandé mes parents.

– C’est ma capsule pour aller dans le cratère du Piton de La Fournaise!!!Elle offre de merveilleux spectacles lors de ses éruptions, alors je voudrais voir ce qui se passe dans ses profondeurs.

 

Mon frère m’ invite alors à partir en exploration avec lui.

Le lendemain matin, mon frère tout excité est déjà réveillé. Quelques heures plus tard nous sommes prêts .Nous disons au revoir  à mes parents et nous décollons .Quelques petites minutes de vol et nous voyons de loin le Dolomieu. Nous sommes enfin sur le cratère et  nous descendons petit à petit dans les entrailles du volcan. Nous observons la chambre magmatique , je me sentais un peu mal à cause de la chaleur.Là mon frère voit un tunnel vide. Il rentre et se pose sans hésiter !

Á peine la capsule arrêtée, il se précipite à l’extérieur. Je sors à mon tour.

 

-Tu vois là, ce sont des stalactites qui sont suspendues au toit du tunnel.

 

Nous continuons notre exploration dans le tunnel, nous voyons comme une source de magma. Cette source faisait des bulles énormes.

Un peu plus loin, il y avait des petits cristaux verts.

Mon frère les ramasse et dit:

 

-Ceci est le trésor d’un volcan, ce sont les cristaux d’olivine.

 

Nous remontons dans notre capsule, nous passons par une cheminée et le  gaz nous propulse à l’extérieur du volcan.

Nous rentrons chez nous et nous racontons à nos parents notre belle excursion. Encore merci à mon génie de frère.

 

Chapelin F, 505.