Dans le cadre de la semaine de la presse 2025, l’association SOLIDARITES ET CULTURES en partenariat avec l’agence Vu, le lycée a pu accueillir la photo reporter Lys Arango le vendredi 28 mars avec les classes de 104 et T01. L’enseignante a fait un compte rendu ci-dessous.

« El ser humano es bueno »

« L’être humain est bon »
Lys Arango, photo-reporter madrilène, vivant à Paris et ayant étudié à Londres, est venue nous
présenter son travail documentaire sur la faim. Pour cela, elle a couvert 24 pays dans le monde
dont une immersion de quasi trois ans au Guatemala. Son fil conducteur est l’étude de thématiques
sociales au travers de l’être humain. Curieuse de comprendre le monde, elle reste convaincue
que l’homme est bon mais que l’ignorance de l’autre, des autres, cause de nombreux problèmes
fondamentaux. Sa dernière étude photographique aborde le cas de Paris (en France, 22% de la
population souffre de précarité alimentaire) : Trois portraits sont peints, un retraité, une migrante,
une étudiante.
Nos élèves de Terminales D.N.L. espagnol, de 1ère D.N.L. espagnol et de l’atelier Sciences Po ont pu la
questionner en espagnol, mais aussi en français, sur son parcours impressionnant, ses
motivations, ses peurs, les dangers de son métier : « Pourquoi parler de la misère ? » a demandé
Emily.

Lys Arango, fotoperiodista madrileña afincada en París y con estudios en Londres, vino a presentar su trabajo
documental sobre el hambre. Ha cubierto 24 países de todo el mundo, incluidos casi 3 años en Guatemala. Su hilo
conductor es el estudio de tematicas sociales a través de los ojos de los seres humanos. Curiosa por entender el
mundo, sigue convencida de que el hombre es bueno, pero que el desconocimiento los demás causa muchos
problemas fundamentales. Su último estudio fotográfico se centra en Paris (en Francia, el 22% de la población
sufre inseguridad alimentaria) 3 retratos: un pensionista, un emigrante y un estudiante.
Nuestros alumnos de Terminale DNL espagnol, 1ère DNL espagnol y del taller Sc Po pudieron hacerle preguntas
en español, pero también en francés, sobre su impresionante carrera, sus motivaciones, sus miedos y los peligros
de su profesión: «¿Por qué hablar de miseia?», preguntó Emily.