Le coup de foudre par Karine

Quand je l’ai vue, j’ai tout de suite su.

C’était comme si Cupidon m’avait mis l’une de ses flèches.

Mon cœur n’arrête pas de s’agiter.

Mon cœur n’arrête pas de trembler !

Par la fenêtre je l’ai regardée,

Par la porte, par le grillage…

Mais sans jamais qu’elle ne me remarque.

Ô mon dieu, elle est si belle !

Telle une princesse je la vois.

Telle ma femme, j’ai l’espoir.

Mais sans qu’elle ne me remarque.

M’a-t-elle ensorcelé, m’a-t-elle enivré ?

Cet aura qui est en moi me transforme tel un prince.

Mais elle ne me remarque toujours pas…

Karine

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