Ressenti en classe préparatoire au DCG, Poursuites d’étude, Expériences professionnelles, Projets professionnels …
J’ai eu le DCG en 2017. A l’époque, j’étais en STG CFE maintenant STMG. A l’issue de mon BAC, j’ai intégré le BTS CGO réformé en BTS CG puis, grâce aux équivalences du BTS, j’ai intégré la deuxième année de DCG.
L’élément important à mon avis est de comprendre dès le départ le niveau demandé dans le cursus et de se mettre dans les conditions nécessaires avant de commencer (rigueur, motivation, assiduité). En effet, avant d’intégrer le cursus, je savais grâce aux rencontres avec d’anciens du DCG qu’il faudrait fournir beaucoup plus de travail qu’en BTS ; cependant il me manquait du concret pour me rendre réellement compte du vrai travail qu’il fallait fournir. Afin de savoir à l’avance si le DCG est un bon choix d’orientation et d’éviter de se rendre compte durant l’année scolaire que ce n’est pas fait pour nous, il est utile de participer à un cours, de parler avec des étudiants, de lire leur témoignage ou encore de regarder des vidéos expliquant l’exigence du DCG.
Ma première année de DCG a été très difficile car je changeais radicalement de rythme de travail en comparaison avec le BTS. En DCG il ne faut pas accumuler du retard car il est très difficile de le rattraper. J’ai donc eu un peu de retard du fait de mon adaptation à ce nouveau rythme et à la somme de travail qu’il fallait réaliser. Mais en troisième année, j’étais mieux préparé car j’avais une année d’études comme expérience, ce qui m’a permis de terminer l’année avec plus de sérénité, grâce à ma motivation, ma rigueur et mon assiduité dans le travail et notamment dans les exercices à faire chez soi. Ces exercices sont très importants pour comprendre et maitriser le cours parfois très théorique. Aussi, pour réussir il est primordial de savoir gérer son temps de travail et de préparer un calendrier de révision lors des gros examens. Il est judicieux également de commencer à travailler les devoirs surveillés plus d’une semaine avant les devoirs pour éviter de ne travailler que la matière contrôlée et ne travailler qu’en juste à temps (mécanique difficile à interrompre lorsqu’on a trop de retard.) Enfin, une bonne ambiance et un travail en groupe facilitent l’apprentissage et la motivation.
A la suite du DCG, j’ai intégré le master CCA à l’IAE de la Réunion. Je suis maintenant en Master 2 CCA. L’IAE étant une formation universitaire, les conditions de travail sont différentes. A titre personnel, je pense que ce qui manque le plus ce sont les devoirs surveillés toutes les semaines qui permettent de faire le point sur nos acquis et nos lacunes afin de les corriger.
À la suite du Master CCA, je vais passer les 2 UE manquantes du DSCG afin d’intégrer le DEC. Je pense donc être expert-comptable bien que ce choix d’orientation ne soit pas pour moi définitif et puisse encore évoluer avec le temps car il est important à notre époque de rester ouvert à d’autres opportunités ou aspirations.
Olivier B., bachelier STG, diplômé du DCG en 2017
Lors de mon année de terminale S, le choix de mon orientation professionnelle, comme pour beaucoup d’élèves n’était pas facile devant la multitude de voies proposées par l’enseignement supérieur. Ayant toujours été attiré par les professions libérales, je me suis alors renseigné sur le métier d’expert-comptable, un métier aux missions variées qui me permettrait d’allier ma passion du chiffre et de l’entreprise à mon envie d’indépendance.
Après quelques recherches sur les études permettant de suivre la voie de l’expertise-comptable, il m’est apparu que de nombreux parcours étaient possibles mais que la voie classique restait l’obtention des diplômes nationaux que sont le DCG (Bac +3), le DSCG (Bac+5) et le DEC (Bac +8). Avec mon baccalauréat scientifique en poche, j’ai donc décidé de m’engager dans cette voie et de suivre la formation au DCG du Lycée Antoine Roussin de Saint-Louis.
Au cours de mes années de formation, j’ai pu acquérir de nombreuses connaissances théoriques et pratiques dans des domaines variés (droit, économie, comptabilité, finance, fiscalité) et effectuer des stages professionnels permettant de mettre en corrélation les connaissances scolaires et les pratiques des entreprises et cabinets comptables.
Par ailleurs, les professeurs étaient expérimentés dans la préparation du diplôme, attentifs aux questions et besoins des élèves et experts dans leurs matières. De plus, le fait d’être dans un lycée est un atout car l’encadrement scolaire facilite le suivi des cours et impose un rythme de travail régulier. L’ensemble de ces éléments forme alors des conditions optimales pour la réussite du DCG.
Après trois années passées dans cette formation et ayant aujourd’hui mon DCG, je poursuis le cursus de l’expertise-comptable à Lyon en DSCG. J’avais le choix entre une formation en alternance ou une formation classique. J’ai opté pour cette dernière. Après l’obtention de ce diplôme de niveau Bac+5, je pourrai devenir expert-comptable stagiaire dans un cabinet et devenir expert-comptable par la suite avec l’obtention du DEC.
Adnan I.I, bachelier S, diplômé du DCG en 2018
J’ai 23 ans, et je viens de décrocher mon Diplôme de Comptabilité et de Gestion (DCG) qui est une licence (Bac+3).
Après l’obtention de mon baccalauréat scientifique, j’ai voulu changer de filière et m’orienter vers la comptabilité et la gestion. Je me suis renseignée sur plusieurs BTS, mais étant titulaire d’un bac général, je n’étais pas prioritaire sur les listes d’inscriptions.
C’est un feuilletant un livre des métiers (ONISEP) que j’ai découvert le DCG. Il m’est apparu que cette formation accueillait à la fois des étudiants titulaires d’un bac S, ES et STMG comptabilité-finance. Je me suis renseignée sur le contenu de la formation et j’ai décidé de m’inscrire. Malheureusement, j’avais découvert cette opportunité trop tard ; les inscriptions étaient déjà closes.
J’ai donc pris l’initiative de m’inscrire à l’université de Saint-Denis en attendant la rentrée suivante dans une filière qui se nomme CADEG (certificat d’aptitude en droit économie et gestion).Cette année à l’université a été intéressante, car j’ai découvert la comptabilité (une matière qui était encore inconnue pour moi) et j’ai ensuite intégré la classe préparatoire au DCG du lycée Antoine Roussin de Saint-Louis.
Il m’a fallu quatre années (au lieu de trois) pour obtenir mon diplôme car il me manquait quelques points à la fin de la troisième année. L’avantage de cette formation est qu’il n’est pas nécessaire de repasser toutes les épreuves. Il faut juste repasser par obligation les épreuves où on aurait éventuellement une note inférieure à 6 et on choisit quelles épreuves repasser parmi celles ou la note est supérieure à 6 mais inférieure à 10. L’objectif est d’avoir une moyenne supérieure ou égale à 10 sur l’ensemble des unités d’enseignement du DCG et aucune note éliminatoire. Toute unité d’enseignement dans laquelle la note est supérieure ou égale à 10 est capitalisée à vie.
Pour réussir dans ce cursus, il faut impérativement travailler de façon régulière, mais aussi prendre du temps pour soi. C’est très important, car pour ma part, je ne prenais pas de temps pour m’aérer l’esprit ou pour décompresser et à la fin de ma troisième année j’ai été tentée d’arrêter mes études. Mais je me suis ressaisie et j’ai décidé de me réinscrire afin de refaire une quatrième année pour récupérer les quelques points manquants. En effet, bénéficier d’un encadrement pour se préparer est important.
J’ai choisi de repasser l’UE « Contrôle de gestion ». Cette quatrième année a été très bénéfique pour moi car j’ai vu l’intérêt que je portais à cette unité d’enseignement et elle m’a permis également de réfléchir à mon projet professionnel. J’ai finalement décidé de faire une poursuite d’étude en master de contrôle de gestion pour que “contrôleur de gestion” soit mon futur métier.
Les conseils que je pourrais donner à tous les étudiants qui envisagent ce parcours ou qui sont actuellement en DCG sont : bien s’organiser en planifiant des plages de travail mais aussi des plages de repos, faire des fiches de synthèse et réviser régulièrement.
Et si je devais tirer des leçons de mon expérience, je dirais deux choses :
– Il est important de bien s’informer pour choisir la bonne orientation et construire un projet professionnel qui motive.
– Tout ce que certains pourraient qualifier d’ « échec » permet parfois de mieux rebondir, de se surpasser et d’avoir un autre regard sur les choses.
Maëva L., bachelière S, diplômée du DCG en 2018
J’ai effectué ma classe préparatoire au DCG au lycée Antoine Roussin. J’ai pris conscience en début de cursus qu’il y a un réel fossé entre le lycée et le post-bac. En effet, la charge de travail est vraiment plus importante ; mais avec un travail très régulier, l’examen reste accessible à toute personne ayant une réelle volonté de réussir. Concernant les cours, ma promotion a bénéficié de professeurs très pédagogues et surtout très compréhensifs par rapport à nos difficultés face au niveau du diplôme et à la charge de travail. Le soutien moral des professeurs est très important durant les trois années. Être solidaires, s’entraider, travailler en groupes sont des facteurs essentiels pour avancer dans cette formation. La mise en place de devoirs sur table chaque semaine, permet d’avoir un apprentissage en continu et surtout de connaitre son niveau, ses lacunes, pour pouvoir se positionner pour l’examen de fin d’année.
Le DCG est un diplôme très complet et diversifié, alliant comptabilité, droit, contrôle de gestion et bien d’autres matières. Au niveau projet professionnel nous ne sommes pas limités à la filière comptable. Le seul reproche que j’aurais à faire serait le manque de pratique malgré les stages mais cela se comprend avec le programme qu’il faut assimiler.
Ayant obtenu mon DCG en 2018, j’ai souhaité continuer en DSCG en alternance à la CCI de Saint-Denis afin de continuer le cursus classique pour devenir « expert-comptable ». Il a été facile de trouver une organisation d’accueil pour l’alternance. J’ai postulé dans diverses entreprises et cabinets comptables ; tous avaient un avis favorable car ils connaissaient la valeur du diplôme de comptabilité et gestion. Je n’ai donc pas eu de mal à trouver mon entreprise d’accueil (cabinet comptable). Les cours ne commençant qu’en novembre, je me familiarise pour l’instant avec les comptes et le portefeuille client du cabinet.
Mauriciane L., bachelière S, diplômée du DCG en 2018
Le lycée Antoine Roussin m’a beaucoup apporté tant sur l’aspect éducatif que sur l’aspect social : une acquisition de connaissances mais aussi de valeurs. Cet établissement m’a permis de me faire des amis aussi bien élèves que professeurs et divers membres du personnel.
7 années (3 dans le cursus du lycée et 4 pour le cursus du DCG), c’est l’équivalent de presque un tiers de mon existence. De quoi me laisser une marque sans doute indélébile.
Le DCG plus particulièrement a été un tremplin pour moi. Ça m’a fait mûrir et m’a permis de me remettre en question. J’ai appris énormément de choses et j’ai côtoyé une équipe pédagogique fort sympathique avec un enseignement de qualité et une classe où je me suis fait mes meilleurs amis.
Toutefois avoir son DCG n’est pas chose aisée. L’exigence de l’examen et la masse de travail requise font que seules la régularité, la motivation et la persévérance sont payantes.
C’est d’ailleurs pourquoi le DCG est un très bon diplôme, une valeur sûre qui ouvre quasiment toutes les portes du domaine de la comptabilité d’une part et d’autre part celles qui sont liées à la gestion de manière plus générale.
Pour ma part j’ai été accepté dans une école supérieure de management, en l’occurrence l’INSEEC de Bordeaux. J’aspire à me spécialiser en management de projets. Fournissant une base solide en gestion au sens large du terme, le DCG offre de nombreuses possibilités de poursuites d’études en dehors du DSCG.
Bref je m’estime chanceux d’avoir pu passer ces belles années dans ce lycée avec un service administratif qui nous met dans les meilleures conditions possibles et des professeurs avec lesquels je garde toujours un bon contact. Je n’ai pas compté les jours passés dans cet établissement mais ce que je sais c’est que tous les matins lorsque je me réveillais, je savais que j’allais passer une bonne journée.
Misba M., bachelier ES, diplômé du DCG en 2018
Je prépare actuellement le DSCG à la CCI de la Réunion, formation par alternance. J’acquiers une expérience professionnelle dans un cabinet comptable sur Saint Denis tout en préparant l’examen. Les épreuves commencent en octobre. La motivation et la capacité de travailler sont les clés de la réussite dans cette formation.
Avant de me lancer dans ce parcours, J’ai passé les épreuves du DCG et j’ai donc décroché une licence. Ma préparation s’est déroulée au lycée Antoine Roussin à Saint-Louis. La quantité de travail demandée est importante mais le fait de bénéficier d’un soutien et d’une complicité relationnelle avec les enseignants aide à surmonter ces difficultés. L’encadrement pendant ces trois années permet de se préparer progressivement à la grande autonomie demandée dans le DSCG en alternance où les intervenants sont principalement des professionnels.
Brian P.S bachelier S, diplômé du DCG en 2017
Après un BTS CGO, j’ai suivi la classe préparatoire au DCG du lycée Antoine Roussin. Titulaire de cette licence, j’ai souhaité poursuivre mes études pour atteindre un niveau BAC+5 et l’ai obtenu le diplôme de Master GRH en juin 2018 après avoir suivi une formation par alternance à l’IAE de la Réunion. J’aimerais souligner que l’alternance est une aventure difficile qui demande beaucoup de rigueur et de recherches personnelles car la théorie des cours est parfois encore insuffisante pour la pratique. Mais c’est tout de même un choix que je ne regrette pas aujourd’hui.
Mon entreprise d’accueil pendant l’alternance était « Inter Négoce » mais je travaille aujourd’hui dans un cabinet d’expertise-comptable à St Louis où je suis chargée du social et où j’ai également l’occasion de faire de la comptabilité sur des dossiers BNC. Une bonne expérience pour le moment en ce début de carrière pour solidifier mes acquis mais j’aspire à évoluer encore et avoir des expériences variées au sein de l’organisation.
Wendy V., bachelière S, diplômée du DCG en 2016
J’ai préparé et réussi un bac Scientifique ne sachant pas vraiment quelle voie j’allais prendre ensuite. Suite à une recherche sur les métiers offrant des perspectives de recrutement et au passage d’anciens élèves de DCG dans ma classe de terminale, je me suis inscrite en DCG au lycée Antoine Roussin.
Le DCG est assez intense mais à force de travail régulier et sérieux il est accessible. J’ai donc eu en Septembre 2016 mon diplôme.
Dans ce même mois, j’ai été embauchée pour occuper un poste de contrôleur de gestion dans le groupe Legros à la Réunion. Le contrôle de gestion est au programme de la 3e année du DCG mais je n’avais aucune expérience professionnelle dans ce métier qui m’a beaucoup plu. Je suis restée 2 ans dans l’entreprise. J’ai quitté le poste récemment pour cause de déménagement en métropole. Tout juste arrivée en métropole je suis à la recherche d’emploi, mais souhaiterais rester idéalement sur un poste de contrôle de gestion ou aller vers le poste de collaboratrice d’expertise comptable / auditeur afin d’élargir mes connaissances pratiques dans le domaine comptable.
Alicia C., bachelière S, diplômée du DCG en 2016
Suite à l’obtention d’un BAC Scientifique, j’ai préparé le DCG au lycée Antoine Roussin. Ces années d’études demandent beaucoup d’investissement. Ceci est nécessaire car cela permet d’avoir une base solide pour la suite du parcours vers l’expertise. Je remercie l’équipe pédagogique d’avoir mis en œuvre les moyens nécessaires pour la réussite des étudiants : leurs conseils et leurs méthodes de travail m’ont permis d’obtenir le diplôme et de poursuivre mes études.
Au cours de ma formation en DCG, j’ai eu l’occasion d’effectuer des stages au sein d’une entreprise qui fabriquait et vendait des mobiliers de bureau. J’étais au service comptabilité client. Ces stages m’ont permis de mettre en pratique les théories vues en cours.
Actuellement, je prépare le DSCG en alternance à la CCIR et je travaille au sein du groupe de cliniques CLINIFUTUR en tant qu’apprentie comptable dans un GIE. Je gère la comptabilité fournisseur. L’activité principale de l’entreprise est l’achat et la revente des médicaments au sein des cliniques du groupe.
Je souhaiterais acquérir de l’expérience entreprise afin de devenir Directrice Financière et Administrative.”
Gabrielle B., bachelière S, diplômée du DCG en 2015.
J’ai préparé un baccalauréat STG option Comptabilité et Finance d’Entreprise. Suite à l’obtention de mon bac, j’ai choisi de m’orienter plutôt vers le DCG que le BTS CGO. Ayant toujours voulu exercer la profession d’expert-comptable, il me paraissait plus opportun de faire un DCG. Ce n’est pas un diplôme facile, mais la formation est très intéressante et enrichissante. Je confirme que les bases acquises en DCG sont très solides pour la suite (DSCG, Master CCA).
Suite à l’obtention de mon DCG au bout de 3 années au lycée Antoine Roussin, j’ai préparé toutes les épreuves du DSCG sur une année en métropole. Souhaitant retourner à la Réunion, je me suis orienté vers le Master CCA et je ne l’ai pas regretté ; je suis actuellement diplômé. Toujours dans cette continuité, mon projet serait de poursuivre vers le Diplôme d’Expertise Comptable (DEC) et exercer le métier d’expert-comptable et commissaire aux comptes soit en tant que professionnel libéral, soit en tant que salarié.
Ludovic V., bachelier STG, diplômé du DCG en 2015
Issu d’un BAC ES, je me suis orienté vers le DCG par appétence pour les chiffres et le monde de l’entreprise. J’ai vite réalisé que ce diplôme et la filière en elle-même sont la voie royale pour réussir son intégration dans le monde polymorphe des entreprises et des cabinets d’expertise-comptable et d’audit. La formation est solide et les efforts sont vite rentabilisés une fois arrivé sur le marché du travail.
L’équipe d’Antoine Roussin concourt beaucoup à la réussite du diplôme : les professeurs donnent beaucoup de leur personne pour sensibiliser les étudiants à l’obtention du sésame. A titre personnel, j’ai effectué uniquement ma troisième année du DCG au LAR après deux années dans un autre établissement de l’île : les conditions de classe et l’environnement de cette école m’ont rapidement mis à l’aise et m’ont permis de valider le diplôme à l’issue.
J’ai poursuivi avec un DSCG en alternance et aujourd’hui, je suis Expert-Comptable Stagiaire chez BDO Réunion-Mayotte.
Pour moi, les ingrédients qui permettent d’avancer dans le cursus sont la curiosité intellectuelle, la rigueur, et l’abnégation. Aujourd’hui, je suis en route vers le DEC.
En somme, cette filière d’excellence ouvre beaucoup de portes. Le contexte du métier actuel crée une infinité de façons d’exercer son métier une fois diplômé.
À moi bientôt de façonner ma future activité.
Teddy F., bachelier ES, diplômé du DCG en 2015
Je vous laisse un petit message d’encouragement pour cette superbe formation!
Pour vous résumer mon parcours scolaire en quelques lignes : j’ai un bac STG Comptabilité Gestion
J’ai eu mon DCG en 2015, j’ai commencé à travailler avant même d’avoir les résultats du DCG3.
La licence DCG étant apprécié par les professionnels, les bulletins scolaires et relevés de note de DCG1 et DCG2 ont été suffisants pour me faire confiance.
J’ai enchainé 2 congés maternité, puis j’ai eu un CDI. Je suis toujours en poste de comptable actuellement.
Je ne peux que vous encourager à continuer et à rester motivé (chose pas toujours facile en fonction des matières).
Je ne saurais vous dire le nombre d’heures passées à apprendre mes fiches pendant 3 ans.. Mais je recommencerais si nécessaire avec plaisir, car le résultat en vaut la peine.
Le DCG est une très belle formation, qui vous permet d’arriver dans le monde du travail avec de nombreuses connaissances dans multiples domaines.
Je ne regrette pas d’avoir choisi le DCG comme poursuite d’étude. Vous êtes très bien accompagnés au lycée Antoine Roussin, pour réussir votre licence.
Je vous souhaite de réussir dans l’ensemble des UE et de bien gérer le stress…
Vous ne le regretterez pas.
Bonne continuation à tous.
Audrey B. , bachelière STG comptabilité-finance, diplômée du DCG en 2015
J’ai suivi la formation DCG (Diplôme de Comptabilité et de Gestion) au sein du lycée Antoine Roussin et ai obtenu le diplôme cette année.
J’ai choisi cette formation car j’ai toujours eu un goût pour les chiffres mais aussi pour la pluridisciplinarité de la formation. Elle offre l’accès à un panel de métiers extrêmement intéressants : expert-comptable, contrôleur de gestion, auditeur, analyste financier, etc… Il s’agit également d’un secteur porteur d’emploi.
Au cours de ces 3 ans, l’accompagnement par les professeurs permet d’acquérir toutes les compétences et connaissances nécessaires à l’obtention du diplôme. Aussi, les stages réalisés en fin de première et deuxième années nous permettent d’avoir une vision plus objective du monde du travail et de découvrir certains aspects du métier.
Julie V., bachelière S, diplômée du DCG en 2018
Après avoir obtenu le baccalauréat scientifique (spécialité mathématiques) en juin 2013, j’ai décidé de m’orienter vers la formation « expertise comptable » et de préparer le diplôme de comptabilité et gestion (DCG) au lycée Antoine ROUSIN de Saint Louis.
J’ai découvert la filière expertise comptable lors de mes différents rendez-vous, au cours de ma scolarité, avec le conseiller d’orientation de mon lycée. Cette filière correspondait parfaitement à mes aspirations (manipulation des chiffres, esprit d’analyse et de synthèse, etc.).
Dès la première année de DCG, nous avons été prévenus mes camarades et moi du volume de travail auquel on allait devoir faire face, volume de travail qui ne cesserait d’augmenter au fil des années.
Les matières de DCG étant toutes nouvelles pour moi, j’ai dû redoubler d’efforts et me faire aider par mes camarades de classe issus des filières « ES » et « STG » (aujourd’hui appelé « STMG »).
Grâce au DCG, j’ai appris à être rigoureux et curieux sur le monde qui m’entoure. De plus, j’ai appris à m’affirmer davantage et à être moins timide, me permettant ainsi de mieux m’intégrer au sein de ma promotion mais aussi au sein d’une équipe, dans le monde professionnel.
Au bout de trois années de préparation du DCG, grâce aux différents conseils de l’équipe pédagogique du lycée Antoine ROUSSIN et à mes heures de travail en dehors du lycée (révision des cours, travail sur les exercices corrigés afin de mieux comprendre et assimiler les divers « mécanismes », etc.), j’ai pu obtenir le diplôme d’État.
Après avoir obtenu le DCG, j’ai décidé de quitter l’ile de La Réunion et de préparer le DSCG à l’IAE de Bordeaux. L’ambiance est totalement différente du DCG, nous sommes plus indépendants, plus « libres », et face à nos responsabilités. L’équipe pédagogique ne nous apporte plus un aussi grand soutien et rares sont les contrôles continus.
Il faut toujours garder en tête que le DSCG est un diplôme très exigeant, demandant encore plus de rigueur et un esprit « transversal ». Le volume de travail est encore plus important qu’en DCG, les connaissances accumulées en DCG servent de base pour comprendre les cours de DSCG.
Face à cette indépendance, j’ai su garder ma rigueur et mon sérieux (la plupart du temps) et à l’heure actuelle, j’ai validé 4 épreuves du DSCG sur 7.
Doris B, bachelier S, diplômé du DCG en 2016