KoZarlor : Le lycée hôtelier lé en ler !

KoZarlor : Le lycée hôtelier lé en ler !

Vendredi té la finale premié konkour lélokans en kréol : about zot zoli kozé !


Organisé par le Conseil de la culture, de l’éducation et de l’environnement de la Réunion, ce concours dont le thème était l’identité, Kisa mi lé? In moun, in mond avait pour objectifs de donner aux lycéens une occasion de développer leurs compétences langagières d’expression orale et d’argumentation rhétorique, nécessaires à l’exercice du grand oral du bac technologique.

FÉLICITATIONS donc à Ornella JEAN-BAPTISTE qui a su porter la parole de ses camarades et qui a fait l’unanimité du jury ! sa lé gayar !!

Merci à Réunion la 1ère pour cette vidéo.
45ᵉ année d’existence !

45ᵉ année d’existence !

Le lycée hôtelier se refait une beauté pour l’occasion ! Les nouveaux ateliers d’application ont été livrés : Snack et brasserie pour déjeuner et Gastronomique pour le dîner. Vous pouvez réserver auprès de Franck Jardin, assistant DDF après avoir consulté notre carnet de menus. Très bientôt de nouvelles photos des ateliers tous neufs !

JULIEN RICHOUX

JULIEN RICHOUX

Crédit photo :  Yacine Sadik

Textes : Olivier Pioch

Élève au lycée hôtelier de 2013 à 2016, Julien Richoux obtient d’abord un BEP puis un Bac pro de Cuisine. Lors d’un concours organisé durant la Fête de la Gastronomie 2016, il est élu « Meilleur espoir de l’océan Indien ». Il s’envole alors pour Paris afin de passer un BTS Hôtellerie-Restauration. Très vite, il devient commis de cuisine puis demi-chef de partie du chef Thierry Marx au restaurant Le Camélia de l’hôtel Mandarin Oriental (palace 5*, à Paris). Il intègre ensuite l’autre restaurant de l’hôtel, le Sur Mesure (2* Michelin), toujours en tant que demi-chef de partie. Dans le même temps, il s’adonne à son autre passion pour la botanique en cultivant un potager d’herbes aromatiques sur le toit du palace. Depuis début 2023, il est de retour dans son île avec un projet nommé « Renaissance ». Objectif : valoriser le patrimoine culinaire réunionnais avec une cuisine innovante et créative, qui respecte le biotope local et le patrimoine agricole de l’île.

MÉDÉRICE CLAIN

MÉDÉRICE CLAIN

Photo : Le bon Zest – Jérôme Barret

Textes : Olivier Pioch

Élève au lycée hôtelier de 2013 à 2017, Médérice Clain décroche un CAP en Pâtisserie puis un Bac pro en Boulangerie- Pâtisserie et enfin une Mention complémentaire de cuisinier en desserts de restaurant. Après son dernier stage d’études au Diana Dea Lodge, l’hôtel 5* de Sainte-Anne lui propose un premier CDD de dix mois en tant que commis. Elle est ensuite renouvelée en CDI au poste de chef de partie. Un an plus tard, après le départ de Sarah Asgaraly (une autre ancienne élève du lycée), elle est propulsée Cheffe pâtissière. Elle reste trois ans en poste, puis décide de tenter une nouvelle expérience au restaurant Le Bocage, à Sainte-Suzanne. Elle y glanera notamment le titre de Cheffe pâtissière de l’année au Guide Kaspro 2022. Depuis, elle est redevenue Cheffe pâtissière du Diana Dea Lodge, un établissement où travaille également son conjoint !

ALEXANDRE GRANDJEAN

ALEXANDRE GRANDJEAN

Photo : collection personnelle

Textes : Olivier Pioch

Élève au lycée hôtelier de 2007 à 2009, Alexandre Grandjean obtient son CAP de Pâtissier puis signe un contrat d’apprentissage au restaurant Le Beau Rivage afin de passer une Mention complémentaire de cuisinier en desserts de restaurant. Il enrichit ensuite son CV d’un nouveau CAP de Chocolatier-confiseur obtenu à l’Institut national de laBoulangerie-Pâtisserie de Rouen et suit une formation de douze mois à l’école Lenôtre, dont il sort diplômé avec mention Très Bien. Il débute sa carrière à la Pâtisserie Taïlou, fondée à La Réunion par sa maman. Puis il s’envole pour Paris, où il sera successivement responsable de production chez Maison Lendemaine, second en pâtisserie au restaurant La Grande Cascade (1* Michelin) et chef de production en pâtisserie chez Daloyau. Après un bref retour dans son île en tant que responsable des nouveaux procédés de fabrication chez Samoussas Taïlou, il a créé en novembre 2022 le
bar-restaurant L’Embouteillage, à Paris.

CAMILLE GALLIFET

CAMILLE GALLIFET

Photo : collection personnelle

Textes : Olivier Pioch

Jeune bachelière, Camille Gallifet intègre le lycée hôtelier en 2009 pour préparer directement un BTS Hôtellerie- Restauration qu’elle décroche deux ans plus tard. Elle obtient ensuite un poste de Maître d’hôtel au restaurant gastronomique Le Carré de l’Ange, à Saint-Lizier (Ariège). Elle y reste trois ans avant de partir en voyage autour du monde pendant un an. De retour au pays, elle multiplie les expériences partout en France… puis file en Belgique pour participer à la création de quatre lieux de restauration et d’activités culturelles dans les parcs publics de Bruxelles. Responsable d’une guinguette durant quatre ans, elle gère également le personnel et la comptabilité de l’ensemble des points de vente. Aujourd’hui
en reconversion professionnelle, elle suit une formation en permaculture afin de cultiver son jardin de manière éthique et durable. Après avoir servi « beaucoup d’assiettes à beaucoup de gens », son objectif est désormais de les remplir sainement