Qui a dit que les jeunes ne lisaient pas ?

Au collège, plusieurs éléments prouvent le contraire : un CDI qui ne désemplit pas et l’engouement des élèves pour la lecture à voix haute qui se manifeste notamment par la participation à plusieurs compétitions.

En effet, des élèves de 6ème se sont engagés depuis plusieurs mois dans différents concours :

  1. Salomé F. (lecture individuelle), Mila B., Hanaé D.C., Charlotte L., Lucas L. et Léonard L.J. (lecture chorale) défendront les couleurs du collège au concours académique de lecture à voix haute (finale par bassin le 23 avril)
  2. Taho G. quant à lui représentera l’établissement à la demi-finale du concours national.

On peut d’ores et déjà les féliciter pour le travail accompli !

Et ces élèves ne représentent que la partie émergée de l’iceberg ; nombreux sont ceux qui se sont investis en amont dans ces concours et qui désormais encouragent leurs camarades, comme nous le faisons tous !

Mme Sibari

Visite de l’ARMEFHLOR par les éco-délégués

Ce jeudi 27 mars en matinée, la petite équipe de éco-délégués du Collège est allé visiter l’ARMEFLHOR, un institut technique agricole spécialisé dans les filières fruitière, légumière et horticole, situé à Bassin Martin (Saint-Pierre).

Ils ont pu découvrir en particulier le travail de recherche mené par Mme Guerret, en collaboration avec le CIRAD sur la sélection de variétés de Bringelles. Ils ont participé à la récolte de spécimens de différentes variétés, suivi d’un travail de description et de comparaison.

Ils ont aussi découvert la production de semences locales, en lien avec le projet de mise en culture de légumes lontan au collège.

Après récolte, les fruits sont séchés avant récupération des graines.

Le groupe a participé au tri des graines, à la pesée et la mise en sachet.

Enfin, les éco-délégués ont pu découvrir, dans la chambre froide, les semences de plusieurs variétés lontan comme les haricots rouges « Marla », les oignons « Kaskavel », des pois du Cap ou encore le maïs « CIRAD 412 ».

L’équipe de Mme Guerret produit ainsi toute une liste de variétés de légumes « péi » que les agriculteurs peuvent cultiver sans être obligés d’importer des semences d’autres pays.