Atelier d’écriture du jeudi 17 février

Avec du retard, voici les textes de l’atelier que nous avons fait le jeudi 17 février : il s’agissait cette fois d’écrire une suite à ces extraits d’un roman de Robin Hobbes intitulé « l’Assassin royal » . Deux extraits, avec au choix la possibilité d’en intégrer un seul des deux ou les deux au texte proposé .

Malheureusement, le hasard a voulu que l’un des extraits touche à un drame qui a eu lieu dimanche dernier…du coup, les élèves de l’atelier voudront bien me pardonner si je n’ai, des trois textes que je voulais reproduire, réécris que celui qui correspond au deuxième extrait du roman . Un texte plein d’espoir qui nous éloigne de ce qui s’est passé . 

“Une chaude lumière tombait de plusieurs lampes suspendues par de fines chaînes à un plafond invisible…”

 

 par Sardine : 

                     A tous ces gens….

                                                                                                   Une chaude lumière tombait de plusieurs lampes suspendues à un plafond invisible….« Et si jamais il pleut ? » me demanda-t-il . »S’il pleut on s’abritera sous les fauteuils ! » lui répondis-je . Je me posai enfin sur la couverture qu’on avait dépliée et posée sur le plancher pour faire office de matelas . Finalement nous étions confortablement installés dans cette cabane ! Les guirlandes colorées donnaient vie au chêne centenaire qui avait perdu toutes ses couleurs . Les coussins éparpillés partout sur le sol en bois donnaient à l’habitat un aspect rassurant, cosi….Il me rejoignit et me prit dans ses bras, posant sa tête sur mon épaule …

Et nous étions là, assis, tous les deux, dans la nuit noire . On apercevait un bras de la voie lactée avec des millions d’étoiles se suivant les unes les autres .Le ciel était encore clair au niveau de l’horizon, gardant en lui le vague souvenir du soleil qui y était passé . La vue était dégagée, on ne voyait que quelques nuages au-dessus des montagnes qui poursuivraient ensuite leur route vers le nord, calmement, au gré du vent . J’étais bien là…dans ses bras, sous les étoiles, je n’avais pas froid, nous avions toute la nuit devant nous, d’ailleurs j’aurais voulu qu’elle ne s’arrête jamais, que le soleil reste là où il était pour toujours, soit, les journées seraient sombres mais il serait là pour me protéger .

A ce moment-là rien ne me tracassait, je me mis à penser à tous ces gens qui faisaient partie de ma vie, ils étaient bien, ces gens, je souhaite à tout le monde de les connaître ! Je repensait à eux, chacun leur tour je retrouvai un souvenir passé avec eux, un moment de fou rire incontrôlable, ou même un simple sourire échangé suffisait à me remplir la tête de bonheur ! Je ne voulais pas les quitter, ces gens ! Je ne les avais jamais quittés jusqu’à maintenant . Mais je savais qu’un jour on trouverait tous nos chemins et nos passions respectives . On quitterait tous l’école pour laisser aux prochains l’opportunité de vivre les plus beaux moments de leur vie, comme le Soleil, qui s’estompait peu à peu dans l’horizon pour laisser place aux étoiles, qui viennent envahir le ciel .

 

 

Les commentaires sont fermés.