Ce sont elles qui en parlent le mieux: Voici le retour d'exposition de nos étudiantes après la visite de trois expositions le 3 septembre à la cité des arts, à la villa de la Région et à l'Artothèque.
La visite était encadrée par Mme Collard et M.Maillochon.
Salomé :
« ...différentes expositions, différents univers, des représentations du monde aussi variées qu'impressionnantes (par les techniques, les messages, les dimensions) et captivantes ( par la photographie ou l'immersion du spectateur). »
Daphnée :
Exposition de "Rant Dann Ron, Maloya La Pa Nou La fé" à l'Arthotheque de Saint-Denis
L'exposition de photographies documentaires nous plonge directement dans l'ambiance du maloya. La convivialité du Ron avec l'attroupement des musiciens et des danseurs mais aussi la spiritualité du Servis Kabaré (une cérémonie d'hommage aux ancêtres)sont les sujets des photographies. On voit des danseurs, des musiciens et des personnes qui sont emportés par le maloya : on peut parler d'une "Transe".
La particularité de cette exposition est son importance de la scénographie en tant que lien entre les pièces et le photographies. Ce qui offre aux spectateurs une immersion totale dans l'ambiance de l'exposition.La lumière est l'une des éléments les plus intéressantes à observer. Elle a permis ici de renforcer la spiritualité de l'événement photographie
Appoline
Durant la journée du 3 septembre 2024 il était prévu pour nous, étudiant en CPES arts, de nous rendre dans plusieurs musées afin de trouver l’inspiration pour nos future production ainsi que d’étendre notre culture en art. Après quelques péripéties nous arrivons tous au point de rendez vous : la cité des arts à St Denis. Durant la visite nous avions la chance d’avoir les explication et le processus de création de l’artiste Masami et à l’aide de quelque documents supplémentaires que notre professeur nous confiais nous pouvions comprendre et ainsi mieux saisir ça façon de travailler et différencier son travaille de celui d’un autre. Pour ma part l’œuvre m’ayant le plus marqué était une peinture en noir et blanc. Le guide nous confiait que le processus de création c’est fais à partir d’une réaction chimique entre le sel et d’autres produit créant ainsi cette effet étrange et captivant de la toile. Il y avait d’autres types de création comme de très grandes installations ainsi que des productions vidéos et audio permettant presque une expérience immersive tout comme l’expérience produit lors de la visite de l’Artothèque. En effet, déjà à l’entrée la photographie laissant apparaître des personnes presque en grandeur nature nous donner un avant goût de ceux que nous allions trouver derrière les rideaux noirs. Peu de lumière mais beaucoup d’émotions : l’aspect sombres des pièces et l’éclairage jaunie sur les photographie nous plongez dans ces tirages la musique d’ambiance nous immergeait dans les photographie offrant au spectateur une chance de ressentir l’effet que donne le service kabaré. Ainsi l’instant capturé par l’artiste prenait vue par le son et nous imprégnait de la mémoire du moment figé. En décalage avec les expositions précédente, à la villa de la région nous avons pu sortir des sentiers battue en abordant pourtant des sujets plutôt simple comme la nature morte ; l’artiste nous présentait ça façon de s’exprimer peut commune mêlant dans une peinture plusieurs style, mélangeant plusieurs mouvements. Ce décalage très surprenant se retranscrit notamment dans une de ses peinture où il mélange street-art, nature morte et art abstrait ou encore insérèr un tableau dans un autre. Cette façon très peu commune de procéder nous questions sur la façon de voir ces œuvres et nous fait découvrir de cette façon le synchrétisme.
Alissa
Une sortie fascinante, instructive et variée qui m’a appris beaucoup de nouveau moyen de créer. Les dispositifs et les couleurs sont très attrayants et nous font sentir dans un autre monde. L’exposition que j’ai le plus appréciée est celle de Jimmy Cadet avec c’est nature morte contemporaine, qui a été une belle découverte avec sa façon de peindre.
Lou-Anne
Une exposition très intéressante et variée. Très bonne découverte de l’artiste Masami et de son travail à la fois monumental et beau.
Les motifs organiques ce marie très bien avec la scénographie de l’exposition ( lumière / musique).
Les quatre autre artistes exposés ont également proposer un travail très intéressant.
L’artothèque a une scénographie magnifique directement présenté au spectateurs dès l’entrée. Une fois que la visite commence le spectateur ce retrouve de nouveau plongé dans l’ambiance de l’exposition.
Les photos et leurs dimensions sont sublime et l’artiste a parfaitement réussi à capturer les émotions des personnes.
Mêlée au son et à la couleur des murs on ce retrouve plongé dans l’ambiance des photos
Nina
A la cité des arts l’artiste japonaise Masami offre à travers cette sculpture en fil de fer, ses sérigraphies unique et une bande sonore crée spécialement pour l’exposition. Elle nous offre un espace infini pour explorer une multitude de dimension de direction et de possibilités. Chaque œuvre ouvre un porte vers un univers nouveau ou l’imagination prend place.
Elia
Des expositions impressionnantes, de par les structures à la cité des arts notamment celles de l’artiste Masami ou encore l’immersion totale avec les photographies authentiques et la scénographie à l’artotheque. Et pour finir l’univers unique de Jimmy Cadet avec ses natures mortes aux couleurs vives.
Naomie
Une sortie riche en découverte, entre la Cité des Arts et l’Arthothèque, mais plus particulièrement l’exposition de Jimmy Cadet à la villa de la Région.
Des natures mortes mélangées au street art ou encore à l’art abstrait, le spectateur voyage à travers ces toiles.
Dans son univers bien à lui, Jimmy Cadet propose une exposition dite témoin des syncrétismes qui sont propres à la culture créole, réunionnaise.
Le passé et le présent traditionnel du culte à la Réunion sont retranscrit ensemble, dans des styles artistiques différents et variés.
Une palette de couleurs bien étendue, des contrastes bien définis : une exposition de folie !